Notez les derniers films vus..Ze topic qui remonte toujours3

[nanoka]

Sur le thème des films "graves" (ici c'est une animation):
"Valse avec Bachir"


http://www.dailymotion.com/video/x5kwsk_valse-avec-bachir_shortfilms

La qualité de l'animation est inégale, mais cà passe.
Mention spéciale pour la bande son.

Original et poignant.

Bruno

[Zappy Bibicy]

Jumper

Les plus :
- 1h28
- Consommation (CPU Idle)
- Coloris
- Prix sans option DRM

Les moins:
- 1h28
- Bruit à régime soutenu
- Direction imprécise (des acteurs)
- Tenue de route
- Manque de souplesse à bas régime.

[raziel]

Cj7 : Le nouveau de Stephen Chow .Moins drôle et surtout plus enfantin que shalin soccer et Crazy kung fu. Passé un bon moment néanmoins.

Be kind, rewind : Un peu eu peur jusqu'au premier quart d'heure mais non, c'est un trés bon Gondry dont on ressort avec la banane. Et ça fait plaisir de revoir Danny Glover.

[Ghost]

S'il y a encore des gens qui ont assez le moral pour s'infuser des films tristes mais intéressants en voici 3 (du moins au plus plombant, voire glauque):

C'est mon genre de film préféré (je te conseille d'ailleurs My Life Without Me, Mysterious Skin ou encore Japanese Story (j'en oublie des tonnes) mais je suppose que tu les as déjà vus).

Vu donc ce Snow Angels et j'ai apprécié ces travellings où les acteurs disparaissent du cadre mais où les dialogues continuent.
Sam Rockwell est excellent (comme d'habitude je dirais).

SpoilerN'as tu pas eu l'impression que c'est lui qui avait tué sa fille ?

[Zappy Bibicy]

Paris - Klapisch

Beau film humaniste sur la capitale et ses âmes, un peu moralisateur, mais avec une distribution impeccable. Humour grinçant aussi atypique que plaisant, personnages attachants. J'ai marché. Evidemment la comparaison avec Lelouch est inévitable, mais pas de maniérisme ici; on est dans le réel et l'empathie n'en est que plus naturelle.
Pas si évident de ressentir une mise en scène et un 'filmage' (sorry) qui aime les acteurs dans le cinéma actuel, leur donnant l'opportunité de tenir le film au point d'arriver à en oublier l'écriture certainement omniprésente derrière. Chapeau.

[soleilvert]

C'est mon genre de film préféré (je te conseille d'ailleurs My Life Without Me, Mysterious Skin ou encore Japanese Story (j'en oublie des tonnes) mais je suppose que tu les as déjà vus).

Oui, trois très bons films.

Oui également pour ton spoiler.

[soleilvert]

Sur le thème des films "graves" (ici c'est une animation):
"Valse avec Bachir"

J'ai hâte de le voir celui-là.

[soleilvert]

Paris - Klapisch

J'étais pas bien motivé mais après ton avis, pourquoi pas. C'est une idéalisation de Paris où ça te semble en phase avec ce qui s'y passe actuellement?

[raziel]

Je me permet de répondre parce qu'à 700 bornes prés, je suis moi-même parisien.
J'ai trouvé que le film aurait pu s'appeler Grenoble, Manchester ou Naples , ça n'aurait strictement rien changé . Le film n'est pas du tout centré sur Paris et Chacun cherche son chat aurait sûrement mieux porté ce titre.

[soleilvert]

Le titre est trompeur alors. Chacun cherche son chat collait effectivement bien à l'ambiance du quartier bastille de l'époque.

[Zappy Bibicy]

Je me permet de répondre parce qu'à 700 bornes prés, je suis moi-même parisien.
J'ai trouvé que le film aurait pu s'appeler Grenoble, Manchester ou Naples , ça n'aurait strictement rien changé . Le film n'est pas du tout centré sur Paris et Chacun cherche son chat aurait sûrement mieux porté ce titre.

Je suis d'accord sur le fond, moins sur la forme. On sait qu'on est à Paris, pour les 'provinciaux' comme moi ça ne fait pas de doute. Il y a un je-ne-sais-quoi de fantasmatique à l'évocation de cette ville; et si tu réfléchis bien, chaque personnage n'existe qu'au travers de sa spécificité vis-à-vis de la ville. Figurant même parfois une image d'Epinal.

Mais aussi, j'ai percuté dès le générique de début: "PARIS" (tout en majuscule, et non pas "Paris") ça n'est pas seulement le nom d'une ville. Et dans ce cas, le film ne fonctionne pas aussi bien en s'appelant "Grenoble".

[Camui]

Bonjour.
On y retrouve l'intemporalité d'un film comme "Le Corbeau" : la nature humaine est ainsi faite qu'elle baigne dans des schémas sociologiques universels. Ozu = Tati, même combat.


Alice dans les villes.
Un "road-movie" timide et contemplatif, qui illustre et sublime le vocable "errance".
C'est aussi beau que je me l'imaginais et je n'ai pas fini d'y repenser.

(edit : visuels pasque Zappaï sinon il confond et s'embrouille)

[Ghost]

The Kingdom : bof, me suis fait un peu chier devant la crise d'épilepsie du caméraman

[Zappy Bibicy]

Alice dans les villes.
Un "road-movie" timide et contemplatif, qui illustre et sublime le vocable "errance".
C'est aussi beau que je me l'imaginais et je n'ai pas fini d'y repenser.

Me trompe-je ou est évoqué Woody Guthrie dans ce film ? J'ai ce souvenir et je n'ai rien retrouvé à ce sujet.

Edit: Ayé, ça m'est revenu comme dans un rêve. Je mélange Alice dans les villes et Alice's Restaurant de Arthur Penn qui met en scène Arlo et son père Woody Guthrie entres autres, et qui est également un excellent film dans ma mémoire embrouillée. Alice's Restaurant étant une chanson du premier me semble.

[raziel]

L’orphelinat

Alors il vaut mieux pas avoir vu Les Autres juste avant sous peine, comme Néo dans l’escalier, de detecter un bug dans la matrice.

Mais surtout il m’a semblé qu’il y avait un sérieux problème de narration : Le réal nous file toutes les clés pour comprendre ce qu’il va se passer dans le premier tiers du film ( les gamins qui proposent un jeu pour retrouver quelque chose de très cher avec un vœu a la clé en cas de réussite. On se doute bien que c’est le chemin que va devoir emprunter la mère pour retrouver son fils) Du coup on regarde avec peu d’intêret l’heure de film qu’il faut aux personnages pour arriver enfin à cette même conclusion.
Dommage car la réalisation et les acteurs sont trés bons.