[COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

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soleilvert
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[COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar soleilvert » 14 Nov 2008, 00:50

A l'approche de nowell un petit sujet pour ce doc qui, avec Shoah de Lanzmann, est ce que j'ai vu de mieux pour comprendre au plus près la 2ème guerre mondiale. Des "petites" histoires pour illustrer la grande.


Image


Environ 50 euros pour 14 épisodes d'1 heure.



La critique [evene]

La note evene : 5/5La note evene : 5/5 le 14 Mai 2007 par Audrey Favin

“Dans un grain de sable voir un monde" : cette citation de William Blake illustre parfaitement le documentaire de Ken Burns ; quatre petites villes des Etats-Unis, représentatives de la population américaine, quatre visages différents d'un même conflit. Ou comment mêler destins personnels et grande Histoire.
'The War' est un vibrant plaidoyer pour la paix ; Ken Burns mélange efficacement images d'archives et témoignages des boys et de leurs proches pour nous plonger dans la Seconde Guerre mondiale telle qu'elle a été vécue par les Américains. Une vision quasi-inédite pour nous autres Européens, il faut bien l'avouer !
Car pour les Américains, le conflit s'est longtemps résumé à la Guerre du Pacifique contre le Japon. Le traumatisme violent de Pearl Harbor évoque immanquablement l'onde de choc du 11 Septembre, tout comme la propagande intense à destination de la population US sur le thème "les bons contre les méchants". Autre point commun avec la guerre en Irak : les Etats-Unis ne s'attendaient pas à un conflit si long et difficile...
'The War' tire sa force des témoignages des anciens combattants, pour la plupart à peine sortis de l'adolescence lorsqu'ils se sont engagés, totalement inconscients de ce qui les attendait...L'émotion et les larmes de ces hommes lorsqu'ils parlent du conflit soixante ans après sont plus efficaces que n'importe quel discours, et soulignent l'absurdité de la guerre. Les images d'archives, tournées par les boys eux-mêmes, sont souvent difficiles à supporter, choquantes. Les corps figés dans la boue, des hommes blessés et mutilés, voilà ce qu'est la guerre. Bien loin des images aseptisées que l’on nous montre aujourd'hui...
Avec 'The War', Ken Burns livre un documentaire efficace et complet, sobre et réaliste qui frappe les esprits et les coeurs. Une piqûre de rappel indispensable et émouvante.


http://www.evene.fr/cinema/films/la-guerre-8685.php
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soleilvert
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar soleilvert » 14 Nov 2008, 00:57

Rencontre avec Ken Burns, auteur de "The War", fresque magistrale sur la Seconde Guerre mondiale


Un historien américain a dit un jour : « Les Américains apprennent leur histoire grâce aux films de Ken Burns davantage que par n'importe quelle autre source. » C'est dire la responsabilité qui pèse sur le documentariste, incontournable héraut d'une Amérique oublieuse de son passé : histoire de la guerre de Sécession (The Civil War), histoire du jazz (Jazz, dix épisodes), du base-ball, vie d'Abraham Lincoln... A 54 ans, le réalisateur au visage d'adolescent a déjà une oeuvre colossale derrière lui. A partir du 5 mars, Arte diffuse sa dernière oeuvre, une fresque magistrale sur la Seconde Guerre mondiale. Plus qu'une histoire, des histoires : la vie de quarante-trois Américains que le conflit a littéralement happés de leur paradis insouciant pour les jeter dans la boue, la peur et le sang. Près de quatorze heures d'une épopée intime et collective que l'on croyait connaître par coeur et qui se révèle haletante, bouleversante. The War est immanquable, son auteur remarquable. Rencontre.



Des dizaines de films ont été réalisés sur la Seconde Guerre mondiale. Pourquoi ajouter le vôtre ?

Après mon film sur la guerre de Sécession (The Civil War), j'étais bien décidé à ne plus faire de documentaires sur la guerre. Jouer les « archéologues en émotions », faire remonter à la surface le drame de ces Américains qui ont perdu un bras, une jambe ou quelqu'un de leur famille m'avait fait souffrir. Fini les guerres donc... jusqu'à ce que j'apprenne que mille vétérans de la Seconde Guerre mondiale meurent chaque jour aux Etats-Unis. Mille ! Chacune de ces vies est une bibliothèque pleine d'histoires, ces disparitions sont une perte immense, je devais revenir sur ma décision. Mais comment me distinguer des centaines, voire des milliers de documentaires qui existent sur cette période ? D'abord, en couvrant simultanément les deux grands théâtres d'opérations, l'Europe et le Pacifique, que la plupart des réalisateurs ont traités séparément ; ensuite en ancrant le récit aux Etats-Unis : Lynn Novick (la coréalisatrice) et moi avons choisi quatre villes (Sacramento, Mobile, Waterbury et Luverne) et sélectionné une cinquantaine de témoins à qui nous avons demandé de raconter leur guerre. Je voulais que le spectateur partage ces cinq années terribles avec eux, mais aussi qu'il connaisse leur famille, les films qu'on allait voir dans leur ville, ce que la presse racontait des combats dans lesquels ils étaient engagés. Partir du plus intime pour comprendre l'Histoire - « trouver le monde dans un grain de sable », comme dit le poète William Blake -, c'était cela, mon but.

Pourquoi ce souci de rester « à hauteur d'hommes » ?

Aux Etats-Unis, on appelle la Seconde Guerre mondiale la « bonne » guerre, la certitude de s'être battu pour la bonne cause ne fait aucun doute. Mais avec ce mot on enrobe aussi la bataille de mythologie et on finit par oublier le sang, la souffrance et l'arithmétique de la mort. Au début de la guerre de Sécession, la bonne société n'allait-elle pas avec son pique-nique sur les hauteurs de Washington pour regarder les combats ? Elle en revenait horrifiée d'avoir vu ses fils et ses maris se vider de leur sang... Avec The War, nous avons voulu enlever l'adjectif « bonne » devant le mot « guerre », et dire : « C'était la pire des guerres que l'humanité ait connue, mais nous pouvons apprendre quelque chose d'elle. » Il fallait pour cela que le spectateur se sente vraiment plongé dans ce conflit, que nous ne nous laissions pas « distraire » par les généraux, les politiciens ou la stratégie, choses passionnantes mais « abstraites » au regard des combats. On se laisse vite fasciner par la croix gammée et cette ridicule petite moustache de Hitler, si on n'y prend garde...



Comment avez-vous procédé pour que les quarante-trois témoins vous livrent leur vie, dans ses détails les plus douloureux ?

The Civil War s'ouvrait par cette citation d'un jeune soldat blessé six fois : « Nous avons partagé l'expérience incommunicable de la guerre. Nous avons ressenti et nous sentons encore la passion de la vie à ses sommets. Dans nos coeurs, nous avons été touchés par le feu. » Dix-sept ans plus tard, avec The War, j'essaie toujours d'explorer le sens de ces phrases, de trouver cette « expérience incommunicable » qui révèle les êtres humains dans ce qu'ils ont de pire... et de meilleur. Face à ces vétérans, Lynn et moi nous en sommes toujours tenus à une attitude et à une question très simples. Nous leur avons demandé : « Qu'avez-vous fait ? » Et parfois, pendant qu'ils répondaient, on entendait leur femme ou leur fils qui murmuraient : « Mais tu ne nous avais jamais dit tout ça... »


Vous-même, avez-vous parlé de la guerre avec votre père ?

Mon père est arrivé en France en avril ou mai 1945. Il avait fait l'école des officiers, ce qui a retardé son départ. Du coup, il a échappé à la bataille des Ardennes (hiver 1944-1945) et s'est retrouvé directement en Allemagne occupée - une expérience qui l'a transformé, même s'il n'a pas participé aux combats. Je regrette encore de ne pas lui avoir posé plus de questions... Le jeune lieutenant au visage innocent que vous voyez sous le titre du premier épisode, c'est mon père juste avant qu'il n'embarque pour la France. Et c'est le dernier visage du film, un visage anonyme parmi les seize millions d'Américains qui ont participé à cette guerre.

Qu'ils évoquent leurs souffrances ou les horreurs qu'ils ont commises, tous les témoins montrent une grande dignité dans leur récit. La haine et le refus de pardonner n'existent pas chez les anciens de la Seconde Guerre mondiale ?

Nous avons croisé deux ou trois vétérans hargneux, mais leur discours n'était pas très spontané - un peu comme s'ils répétaient leur histoire pour la centième fois. En revanche, beaucoup de ceux que vous voyez à l'écran continuent de lutter avec des bouffées de haine. Leur dignité ne vient pas de ce qu'ils s'en seraient libérés, mais plutôt de leur capacité à les transcender. Le film tire d'ailleurs sa force de cette collision de sentiments. Regardez Quentin : un octogénaire qui a travaillé toute sa vie dans les assurances. Un homme banal ? Et si je vous dis qu'il a participé à quantité de missions de bombardements sur la France et qu'après le débarquement il a tué tellement d'Allemands lors d'une mission que sa main droite, qui actionnait le bouton de tir, a « refusé » de fonctionner au point qu'il a dû tenir le manche de la main gauche pour rentrer à la base ?



The War garde ses distances avec l'image « héroïque » du soldat américain. Certaines images légendaires, comme les quatre marines en train de planter la bannière étoilée sur l'île d'Iwo Jima, dans le Pacifique, n'apparaissent même pas dans le film...
On a fait de l'héroïsme une affaire de perfection, on l'a enchaîné à la bravoure... Pourtant, les Grecs nous avaient prévenus : le héros a des dons exceptionnels mais il a aussi d'extraordinaires faiblesses. Achille avait un talon ! Et le véritable héroïsme, c'est la « conversation » entre ces dons et ces faiblesses. Du coup, j'ai essayé de gratter cet habillage familier et dévoyé de l'héroïsme. Pour la photo du drapeau à Iwo Jima, par exemple, on sait que c'était une photo montée. Clint Eastwood a essayé de la démystifier dans son film Mémoires de nos pères, mais je me suis dit : au fond, pourquoi même y toucher ? Pourquoi ne pas s'en tenir aux faits, aux effroyables combats qui se sont déroulés sur l'île ?

A propos de photos, vous rappelez que Roosevelt a autorisé la publication d'images difficiles. Aujourd'hui, on ne voit quasiment rien de la guerre en Irak. Cela vous préoccupe ?

Au début, Roosevelt ne voulait pas qu'on montre les horreurs de la guerre. Mais il a changé d'avis et les actualités filmées ont montré des bateaux débarquant des filets entiers remplis de cercueils. Pour voir un cercueil rentrant d'Irak, en revanche, il faut se faufiler comme un pornographe sur les sites Internet de ceux contre lesquels se battent les Etats-Unis ! Les Américains ont beau entendre parler des bombes, savoir qu'il y a des victimes, ils ne les voient pas. Ils ne comprennent donc pas ce qui est en jeu. C'est exactement ce que cherche le gouvernement : nous empêcher de saisir la réalité de la guerre pour que nous fassions des choix sous-informés.

Le pouvoir des images continue de faire peur ?

Bien sûr. Saddam Hussein a envahi le Koweït en août 1990, lors de la première guerre du Golfe. Fin septembre, PBS diffusait mon film sur la guerre de Sécession - onze heures et demie d'images en noir et blanc, rien que des Américains tuant d'autres Américains. Avant la diffusion, 90 % des sondés se disaient emballés à l'idée d'attaquer Saddam. Après, l'appétit de guerre avait diminué d'un quart. Peut-être parce que le film rappelait le coût réel de la guerre : ce sont des fils, des maris et des frères qui meurent. Ils ne rentrent tout simplement pas. Point barre.

L'élection présidentielle américaine se jouera peut-être entre John McCain - un ancien soldat, très respecté aux Etats-Unis, qui ne veut pas que les troupes américaines quittent l'Irak - et Barack Obama, qui s'est toujours opposé à cette guerre. Où vous situez-vous ?
C'est l'élection la plus importante de mon existence et celle où le choix est le plus facile. Les trois raisons pour lesquelles nous sommes partis en Irak - armes de destruction massive, liens entre al-Qaida et Saddam Hussein, et danger d'attaque imminente - se sont révélées des fraudes. Nous nous battons comme l'apprenti sorcier de Fantasia, en créant chaque jour plus de combattants dans les rangs d'al-Qaida. Le choix est clair, c'est Obama.

Lynn Novick, votre coréalisatrice, cite une enquête affirmant que 42 % des jeunes Américains sont persuadés que les troupes américaines se sont battues avec les Allemands contre les Russes pendant la Seconde Guerre mondiale. Un pourcentage désespérant pour le documentariste historique que vous êtes ?
L'Amérique a eu la chance d'avancer très vite depuis sa création, mais ce développement rapide a aussi eu un effet néfaste : les Américains n'ont toujours pas d'histoire. Nous brûlons notre passé comme une fusée son carburant ! Or il arrive un âge où même un pays a besoin, absolument besoin, d'avoir un passé pour se construire... Quant à moi, je reste un artiste, pas un historien, même si l'histoire est la matière première de mes films. Si demain mes documentaires historiques n'avaient plus de succès, c'est l'Histoire que je laisserais tomber, pas le cinéma !

The War se termine sur deux notes presque discordantes. D'un côté les scènes de liesse, de l'autre un vrai sentiment d'amertume : quelque chose ne passe pas entre les « héros » de retour et une population qui a déjà basculé dans la consommation à outrance des années 50. Ce « quelque chose » qu'on retrouvera avec le Vietnam, qu'on sent déjà poindre avec l'Irak... qu'on trouve en fait dans toutes les guerres ?

Qui déclare les guerres ? Des gens de 50, 60 ans. Qui les fait ? Des gosses d'une vingtaine d'années, à peine sortis de l'adolescence et, comme tous les ados, dans l'illusion de leur immortalité. Ces gosses qu'on a jetés au combat, on leur a demandé d'être des tueurs professionnels et c'est exactement ce qu'ils ont fait pendant quatre ans. Certains sont même devenus très bons dans l'art de tuer. Et du jour au lendemain on leur demande de ne plus être des tueurs. Toute leur vie, ils garderont quelque chose d'irrésolu et vivront avec les fantômes et les démons de cette guerre.

On pense aux Plus Belles Années de notre vie, de William Wyler, qui raconte le difficile retour à la maison de vétérans...
C'est un film magnifique, qui compte beaucoup pour moi. Ma mère est morte lorsque j'avais 11 ans. Mon père était très strict sur l'heure où il fallait se coucher, mais quand il y avait un bon film, on allait le voir ensemble. Un jour, on a vu Les Plus Belles Années de notre vie - et c'est la première fois que je l'ai vu pleurer. Par la suite, je me suis longtemps demandé ce qui me liait tellement à l'Histoire et au cinéma, jusqu'à ce qu'un ami me dise : « Qu'est-ce que tu crois que tu fais, sinon réveiller les morts ? Tu réveilles les ancêtres du jazz et les soldats de la guerre de Sécession, Abraham Lincoln, le joueur de base-ball Jackie Robinson... Tu les réveilles et tu leur redonnes vie dans tes films. » Voilà, je passe ma vie à réveiller les morts. Et cela vient peut-être de ce qu'après la mort de ma mère mon père et moi avons trouvé ce terrain commun, ce lien à partager : le cinéma.


Votre film va être montré sur Arte, en France et bien sûr en Allemagne. Qu'attendez-vous de cette diffusion ?

De tous les peuples détestés un jour pour leurs crimes, les Allemands sont les seuls à avoir fait un effort aussi important, aussi douloureux, pour assumer leurs actes. Au Japon, il n'existe rien de comparable au musée de l'Holocauste : les Japonais n'ont même pas admis les massacres de Nankin ou les viols de femmes en Corée, et ils se sont encore moins excusés. Au-delà de ça, j'aimerais que ce film ne soit pas vu comme une énième démonstration des « bons » contre les « méchants », qu'il soit perçu comme une expérience universelle. Que vous soyez français, allemand, américain, je voudrais que ces quarante-trois personnes que vous accompagnez ressemblent à quelqu'un que vous connaissez.

Comment vous sentez-vous, après six ans d'« immersion » dans cette guerre ?

Si vous trouvez certaines images difficiles à regarder, je vous assure que ce n'est rien comparé à ce que nous avons visionné. Du monteur au réalisateur, tout le monde a été poursuivi par des cauchemars. Mais ces années de travail n'ont pas été vaines. Il y a quelques mois, nous venions de montrer l'épisode 5 - le plus dur - à un panel de spectateurs quand une femme s'est approchée de moi et m'a dit : « Monsieur Burns, tout cela était si horrible... J'ai vraiment besoin de savoir : est-ce que Quentin s'en sort, à la fin ? » Ce jour-là, j'ai compris que j'avais réussi mon film. Parce que Quentin, cette dame l'avait déjà vu plusieurs fois : un vieux monsieur de 80 ans qui témoigne dans les premiers épisodes, bien vivant ! Elle était tellement entrée « dans » la guerre qu'elle ne voyait plus que le jeune pilote multipliant les missions au-dessus de la France, pas le vétéran.



http://television.telerama.fr/televisio ... ndiale.php









Après découverte de ce doc je ne vais plus jamais voir les films sur cette période de la même façon.
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar Blondin » 14 Nov 2008, 02:28

Je plussois. Magnifique série documentaire. Une référence dans le domaine de la seconde guerre mondiale comme a pu l'être Band of Brothers en matière de fiction.

Ce coffret fait déjà partie de ma commande auprès de papa Noël.

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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar oliviertardiff » 17 Nov 2008, 15:39

Wouiiii...!

Vu l'année dernière sur la TV française (Arte ou la 5, je sais plus)... Excellents témoignages et travail de documentaliste énorme... En plus, c'est très émouvant... enfin pour moi!

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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar soleilvert » 20 Déc 2010, 02:51

Image

Vente flash du coffret sur amazon à ... 19,99€ (plus qu'une vingtaine d'heures)

Un beau cadeau de noël pour pas cher.
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar Ghost » 20 Déc 2010, 08:55

"Si vous n'êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment." – Malcolm X

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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar Zappy Bibicy » 20 Déc 2010, 09:11

Il faut se connecter sur http://www.amazon.auv
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar Ghost » 20 Déc 2010, 09:15

gné ?
"Si vous n'êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment." – Malcolm X

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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar Zappy Bibicy » 20 Déc 2010, 09:54

Amazon-auvergne, les prix y sont plus bas sinon les autochtones n'achètent rien. Un peu comme amazon.sco pour le royaume-uni.
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar soleilvert » 20 Déc 2010, 12:01

Ghost a écrit :Je le vois à 29,40 € : http://www.amazon.fr/War-1941-1945-coff ... 676&sr=1-1



Tu cliques sur offre éclair pour bénéficier du tarif spécial.

N'écoute pas ce vil paltoquet du pays des vieux sous le soleil bleu marine et blue, éblouie pareil, jusqu'à en oublier tout.
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar RNO » 20 Déc 2010, 15:23

Que pensez-vous des commentaires ? : http://www.amazon.com/War-Film-Burns-Ly ... addOneStar
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar soleilvert » 20 Déc 2010, 15:52

D'abord as-tu vu ce doc? Si oui TON avis est le bienvenu.
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar RNO » 21 Déc 2010, 11:32

Je n'ai pas vu le doc et du coup j'etais tente par l'achat, mais cela fait un long programme et je me demandais si les critiques relevees dans lâmazon ricain etaient fondees ?
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar soleilvert » 21 Déc 2010, 14:27

Si tu vas par là il y a 344 critiques du coffret sur le site. Il obtient au final 4 étoiles et demi sur cinq. Les accusations de racisme et de falsification de l'histoire ça me semble quasiment inévitable puisqu'il s'agit de "petites histoires" illustrant la "grande". Certains se sentent forcément lésés, trompés.

Maintenant je pense surtout que tu as juste voulu faire chier sans avoir le moindre argument avec cette approche malhonnête, comme tu en as l'habitude quand quelque chose fait l'unanimité. Pour 20 euros chercher des prétextes pareils pour ne pas se faire son propre avis...
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Re: [COFFRETDVD] - THE WAR - Ken Burns

Messagepar RNO » 21 Déc 2010, 15:42

Putain ca fait plaisir de discuter avec toi et de te demander ton avis.
Vraiment, merci de l'echange.

Autant le premier paragraphe, s'il n'amene rien de nouveau, m'assure que tu n'as pas envie d'en parler, autant le second, dont tu aurais pu te passer, te fait apparaitre comme un gros con agressif.

Je te demande ton point du vue sur la question car les propos de ces gens d'amazon US n'apparaissent nulle part ailleurs et que j'esperai que l'ayant vu , tu me fournirai un avis personnel et perspicace.

Au temps pour moi.
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